scientifiques souhaiteraient associer le pape à la promotion d’une morale écologique
Deux scientifiques estiment, dans un article publié le 19 septembre dans la revue américaine Science, que les responsables religieux, et en particulier le pape François, sont une des clés du « salut de la planète » face à la « destruction de l'environnement et au changement climatique ».
Le climatologue Veerabhadran Ramanathan, de l'Université de Californie aux Etats-Unis et l'économiste Partha Dasgupta, de l'Université de Cambridge, en Angleterre, soulignent « l'apport décisif » que pourrait représenter le pape François afin d'amener « des milliards de personnes à travers le monde à changer leur mode de vie de façon à éviter des changements climatiques catastrophiques ». Le secrétaire d’Etat du Vatican, le cardinal Piero Parolin, s’est exprimé lors du Sommet sur le climat de l’ONU le 23 septembre dernier pour y promouvoir, selon Asianews, une « réponse collective basée sur une culture de la solidarité, de la rencontre et du dialogue », en tenant compte surtout des « considérations éthiques et morales » liées au changement climatique.
En analysant, le 24 septembre 2014, sur le site internet du média conservateur nord-américain lifesitenews.com, cette intervention du secrétaire d’Etat du Saint-Siège, le journaliste Steve Jalsevac rappelle que le thème du réchauffement de la planète a toujours été prétexte à la « manipulation des populations notamment dans le cadre des contrôles des naissances ».
(Sources : apic/asianews/reinformation.tv/lifesitenews – DICI n°304 du 07/11/14)
